... à boire à la paille !!

Et oui, ma première tentative des yaourts au lait de chèvre s'est révélée être un semi échec :(
En effet, les yaourts n'ont pas pris, ou plutôt, n'ont pris que sur la couche supérieure, ce qui est d'autant plus frustrant car, en les sortant de la yaourtière, j'ai cru qu'ils étaient réussis.
Mais bon, je ne désespère pas... Je ferai bientôt une nouvelle tentative en augmentant le temps d'étuvage (je les avais laissés un peu moins de 10h...)
En même temps, je ne suis pas trop surprise de cet échec car, en cherchant sur le net, j'avais cru comprendre qu'il était plutôt difficile de réussir des yaourts au lait de chèvre suffisamment fermes.
J'avais retenu 2 conseils pour les réussir :

• Utiliser plutôt un yaourt au lait de brebis qu'au lait de chèvre pour les ferments (conseil que j'ai suivi)
• Utiliser du lait cru entier plutôt que du lait UHT demi-écrémé (conseil que je n'ai pas suivi - et oui, on trouve du lait de chèvre demi-écrémé UHT au super marché - Lactel -  mais ni entier, ni cru). Mon fromager, au marché, vend du lait de chèvre cru, mais, a priori, pour faire des yaourts au lait cru, il faut préalablement faire bouillir le lait et le laisser refroidir : au final, ce n'est plus du lait cru donc ! Par conséquent, pas sûr que cette solution suffise pour réussir des yaourts bien fermes.

Pour info, je vous donne quand même la recette de ces yaourts à boire, au bon goût de lait de chèvre :

• 1 yaourt au lait de brebis du commerce
• 1 litre de lait de chèvre demi-écrémé UHT

On mélange progressivement le lait au yaourt, on verse dans les pots, on met les pots dans la yaourtière et zou, c'est parti pour 10h d'étuvage !
Pour la dégustation, prévoir une paille ou, comme moi, ajouter du muesli pour "texturer" un peu le yaourt !

Bon, je referai des essais, avec du lait entier cru et aussi en ajoutant un peu de lait en poudre (de vache malheureusement car je n'ai encore jamais croisé de lait de chèvre en poudre, à l'exception de lait infantile, à un prix exorbitant...).
Affaire à suivre...

Depuis mon premier essai des yaourts au lait demi-écrémé, j'ai renouvelé plusieurs fois l'expérience pour enfin atteindre LA recette parfaite ! (à mon goût) Un yaourt crémeux, onctueux, ferme mais pas plâtreux , pas du tout acide et, en plus, plutôt light car sucré à l'édulcorant et à base de lait demi-écrémé et non entier.

La recette :

Mélanger, à la cuillère en bois (ou mieux, au fouet en plastique - mais pas métallique) dans un pichet (ou autre récipient avec bec verseur) :

• 1 yaourt nature du commerce*
• 4 cs bombées de lait écrémé en poudre
• 4 cs rases d'édulcorant (sucralose pour moi, soit l'équivalent de 4 cs rases de sucre "normal")

Bien mélanger le tout puis ajouter progressivement un litre (90 cl suffisent) de lait demi-écrémé.
Verser la préparation dans les pots, qu'on ne ferme pas et qu'on place dans la yaourtière.
Et voilà, c'est parti pour 10 h d'étuvage dans la yaourtière (personnellement, je couvre ma yaourtière pour éviter que la température ne chute trop vite, ce n'est probablement pas utile si votre cuisine est bien chauffée...)

* Les meilleurs résultats ont été obtenus en utilisant un yaourt La Laitière au lait entier.

Remarque 1 : J'étais au départ un peu réticente à utiliser du lait en poudre pour "raffermir" le yaourt, j'avais peur que le résultat soit plâtreux ou grumeleux... Pas du tout ! Mes yaourts sont plus crémeux (malgré le fait qu'il s'agisse de lait écrémé) et nettement moins liquides avec que sans !

Remarque 2 : Après avoir essayé l'option yaourt non sucré que l'on sucre à la dégustation et l'option sucré dès la préparation, je trouve que la seconde méthode donne une meilleure texture au yaourt...

Tout commence par une envie de poisson... Malheureusement, les 4 pavés de poisson blanc qui m'attendent patiemment dans le congélo ne me tentent pas vraiment... En tout cas, sûrement pas nature ! Voyons donc comment je peux les accommoder...
En explorant mon placard et mon frigo, je découvre (ingrédients pour 3-4 pers.) :

• 4 pavés de poisson blanc surgelés (décongelés)
• 2 gros oignons
• 4 petites carottes (un peu rabougries...)
• 4 pommes de terre à chair ferme (un peu flétries...)
• une douzaine de pruneaux (un peu desséchés...)
• 2 poignées d'amandes
• 1/2 citron confit au sel
• 1 cube de bouillon de légumes (ou de fumet de poisson)
• sel, poivre, épices (ras-el-hanout, mélange pour tajine, piment...)

Rq : J'utilise depuis peu le "mélange aux épices grillées pour tajine" de la marque CookArt de Ducros et le mélange "Cannelle, Abricot, Datte", de la même marque, en plus de mon mélange ras-el-hanout classique, acheté sur le marché. Moi qui aime beaucoup le côté sucré-salé des tajines, je trouve que ces deux "aides culinaires" font des merveilles !

Me voilà donc partie pour un tajine de poisson ! (Mon premier... Les tajines à la volaille ou au mouton, j'ai déjà tenté, mais au poisson, c'est la grande inconnue...)
(Bon, évidemment, si vos carottes, pommes de terre et pruneaux ne sont ni rabougris, ni flétris, ni desséchés, c'est probablement encore mieux.)

La recette ?
Ultra simple et plutôt rapide...

• Emincer les oignons, peler et couper en rondelles les carottes et les pommes de terre. Les faire revenir 5-10 minutes dans une poêle à feu vif avec 2-3 cs d'huile, saupoudrés d'une cs de mélange pour tagine et de 2 pincées de ras-el-hanout
• Couvrir de bouillon (chaud), baisser le feu au minimum, saler (bien gouter, car la quantité dépendra baucoup du type de bouillon utilisé) ajouter un peu d'épices et une pointe de piment (selon les gouts...), mettre un couvercle et laisser cuire un petit quart d'heure.
• Ajouter alors les pruneaux, les amandes et le citron confit émincé, et laisser cuire encore une dizaine de minutes, toujours à couvert. (A ce stade, je transvase le tout dans une petite cocotte en fonte, de manière à ce que le maximum d'ingrédients soient recouverts par le bouillon, mais ce n'est probablement pas indispensable)
• Quand les pommes de terre et les carottes sont presque cuites (vérifier en les piquant avec un couteau) ajouter le poisson coupé en gros cubes et laisser à nouveau mijoter (toujours sur feu très doux et toujours à couvert) pendant une dizaine de minutes.

Etant donné que j'avais mis des pommes de terre, j'ai servi ce plat tel quel (j'avais anticipé l'absence de semoule dans le placard...)
Si vous souhaitez le servir avec de la semoule, je conseille de réduire, voire de supprimer totalement, les pommes de terre.

Verdict après dégustation ?

Fameux ! J'aurais pu forcer un peu plus sur le piment mais mieux vaut en ajouter un peu dans l'assiette que d'avoir à s'enfiler un grand verre d'eau après chaque bouchée...
Seul bémol : les pavés de poisson utilisés sont en fait des morceaux de filets agglomérés... et donc "désagglomérés" une fois décongelés ! Résultat : difficile de découper des gros cubes homogènes. Certains morceaux sont donc un peu partis en charpie au fond de la cocotte. La prochaine fois, j'utiliserai probablement encore du poisson surgelé, mais j'opterai pour des vrais filets (ou trouve des sachets vraiment pas cher au supermarché ou chez Picard).

Et oui, fallait bien que je me plante un peu, sinon, c'est pas rigolo...
Après plusieurs essais (nature, à l'amande amère, au lait de soja à la mangue) encourageants, j'ai voulu tester les yaourts aux céréales (me doutant pourtant bien que celles-ci finiraient un peu ramollies...)
Je suis donc partie sur une recette de base au lait demi-écrémé sucré soit :

• 1 yaourt du commerce
• 1 litre de lait demi-écrémé
• 4 cs d'édulcorant (soit 4 cs de sucre)
• 2 cs de lait écrémé en poudre

J'ai mis une cs de muesli au chocolat au fond de chacun des pots (heureusement, j'avais eu la bonne idée de ne faire que 2 pots avec cette mixture...), versé dessus le mélange lait-yaourt sucré, et zou, 10h dans la yaourtière puis 1/2 journée au frigo.

Le résultat ?

Une espèce de couche de céréales détrempées et totalement insipides sur le dessus de mon yaourt (genre Weetabix sans sucre : un régal !!) + une autre couche, toute aussi détrempée et insipide dans le fond... (Pourquoi 2 couches ?? Mystère...) Au milieu, en revanche, un yaourt bien crémeux et très doux... (Maigre consolation)
Bon, comme je n'aime pas jeter (et que ça restait tout à fait mangeable), nous avons quand même mangé ces 2 ratés, mais cette recette est définitivement classée sous la rubrique "à ne pas refaire" !!

Et oui, y a pas que les yaourts dans la vie !
Voici donc aujourd'hui la recette de "mon" osso-bucco de dinde, ou plutôt de la "viande de dinde pour osso-bucco façon osso-bucco" car j'ai pris beaucoup de liberté par rapport à la recette originale (d'ailleurs, un osso-bucco avec de la dinde et non du veau, est-ce vraiment un osso-bucco ?)

Pour cette recette (3 pers.) j'ai utilisé :

• 800 g de cuisses de dinde tronçonnés (6 morceaux)
• 3 (très) gros oignons
• 250 g de poivrons émincés (Picard)
• 2 boîtes de tomates pelées concassées
• 1 orange (zeste émincé + jus)
• 2 gousses d'ail
• huile, sel, poivre, piment d'espelette, thym & laurier
• vin blanc et/ou bouillon de volaille ou de légumes
• 1 cc de maïzena (facultatif)

Réalisation :

• Fariner légèrement la viande et la faire dorer qqs minutes dans un peu d'huile, à feu vif. Réserver.

• Faire blondir les oignons dans un peu d'huile puis ajouter les poivrons, l'ail pressé,le zeste et le jus d'orange et enfin, les tomates concassées. Saler, poivrer, épicer suivant la sensibilité de son palais...

• Ajouter ensuite la viande, qui doit être recouverte par la sauce (au besoin, ajouter un peu de bouillon ou de vin blanc) et laisser mijoter à feu très doux et à couvert pendant au moins 2h (Découvrir en fin de cuisson si vous jugez la sauce trop liquide et ajouter 1 cc de maïzena tamisée un peu avant d'arrêter la cuisson si vous souhaitez lier un peu la sauce).

Rq : Ce plat peut être préparé la veille. La viande n'en sera que plus fondante. Dans ce cas, je cuis environ 1h30, à couvert, le premier jour puis, le lendemain, je mets à réchauffer une petite heure, en laissant réduire un peu (sans couvercle) sur la fin.

Pour accompagner, je suggère des tagliatelles (fraîches, idéalement) et du parmesan ou avec des petites pommes de terre (nouvelles, idéalement) vapeur ou à l'eau.

Verdict ?

La viande est fondante et moelleuse à souhait, la sauce (que j'ai laissée réduire une bonne demi-heure) super parfumée bref, un délice. Evidemment, question goût, ça reste de la dinde, donc c'est la sauce qui fait tout... (les férus de l'osso-bucco de veau suceurs d'os seront forcément un peu déçus...)
Mais franchement, quand on voit la différence de prix entre la dinde (4€ de viande pour 3 belles portions) et le veau, on se dit cette adaptation vaut au moins le coup d'être testée.

Je continue sur ma lancée et vous communique le compte rendu de ma dernière expérience de yaourteuse : les yaourts au lait de soja aromatisé à la mangue.
En effet, j'aime beaucoup les desserts au soja mais trouve leurs prix rapidement exorbitants dès qu'on s'éloigne du classique soja nature.
Pour un essai, j'ai fait très simple : je me suis servie d'une brique de lait de soja sucré et aromatisé à la mangue.

Les 2 uniques ingrédients sont donc les suivants :

• 1 yaourt au soja nature du commerce (marque Carrefour pour moi)
• 1 litre de lait de soja à la mangue (toujours Carrefour)

Comme pour les yaourts classiques, j'ai versé le pot de yaourt au soja dans un pichet, ajouté progressivement le lait de soja en remuant bien, réparti le mélange dans mes pots à yaourts, fermé et enfin allumé la yaourtière. (Que j'ai couvert d'un plaid pour éviter les déperditions de chaleur.)

8 h après, les yaourts avaient une bonne tête, et humaient bon la mangue. Direction le frigo !
Le premier a été dégusté 2h après, il était très bon : à la fois ferme et extrêmement fondant, voire trop fondant (un peu "flotteux" en fin de bouche) et un bon goût de mangue (malgré le fait qu'il s'agisse uniquement d'arôme mais, ne mentons pas : ça ne vaut pas le parfum d'une bonne mangue fraîche...).
Seconde dégustation le lendemain : texture bien plus agréable, toujours extrêmement fondant mais sans le côté "flotteux" et le goût, toujours au top !
Morale de l'histoire : la gourmandise et l'impatience sont de vilains défauts ;)

Pour la prochaine fournée, j'ai déjà 2 pistes d'améliorations en tête :
     - ajouter 1 à 2 cs d'édulcorant ou de sucre (pour renforcer le parfum de la mangue)
     - ajouter des petits morceaux de mangue (là, ça devrait être exquis... Reste plus qu'à penser à acheter une mangue, soit fraîche, soit lors de ma prochaine virée chez Picard !)

Lors ma dernière fournée de yaourts (nature au lait demi-écrémé), je n'ai en fait rempli que 4 pots avec le mélange yaourt-lait de base et, pour les 4 autres yaourts, j'ai expérimenté les yaourts aromatisés à l'amande amère.
J'ai donc ajouté, dans mon 1/2 litre de mélange yaourt-lait :

• 4 cs rases d'édulcorant (soit 4 cs rases de sucre)
• 1 cs d'arôme d'amande amère

Le verdict ?
Et bien encore une réussite ma foi... Question texture, le résultat est identique aux nature au lait demi- écrémé et, en ce qui concerne le goût, le parfum de l'amande est subtil mais présent. Je pense que les amateurs d'amande amère comme moi peuvent essayer d'augmenter la dose jusqu'à 1,5 voire 2 cs. (C'est en tout cas ce que je ferai la prochaine fois...)

Et oui, suite à ma première expérience de yaourteuse en herbe (yaourts nature au lait entier), qui s'est avérée être un grand succès, me voilà décidée à me lancer dans la fabrication de yaourts un peu plus light.

La recette ?
Exactement la même que celle des yaourts au lait entier, sauf que le lait entier a été remplacé par du lait demi-écrémé et le yaourt du commerce par un yaourt de la fournée précédente.

Le résultat ?
Excellent, à mon goût ! Évidemment, un peu moins crémeux et un peu moins fermes que ceux au lait entier mais, niveau goût, la différence est très légère (le petit goût de crème des yaourts au lait entier a malheureusement disparu mais ces yaourts restent tout de même très doux et nettement meilleurs que la plupart de ceux que l'on trouve dans le commerce).
Toutefois, je dois préciser que j'aime les yaourts assez liquides. Certains auraient donc probablement jugé ces yaourts pas assez fermes.
La solution, pour remédier à ce problème de fermeté (non testé pour l'instant) : ajouter un peu de lait en poudre à la préparation (entre 1 cs et le volume d'un pot à yaourt suivant le degré de fermeté souhaité).

Et oui, comme beaucoup, j'ai décidé de me lancer dans la fabrication des yaourts maison. N'ayant pas envie de me compliquer la vie, j'ai opté pour la méthode yaourtière que j'ai chinée pour une bouchée de pain

Il s'agit d'un modèle plutôt old-school : la yaourtière SEB bleue, appelée aussi "yaourtière incassable" (en fait, ce sont les pots qui sont incassables, car en plastique alors que, sur la plupart des modèles, ils sont en verre...).

Premier essai : Yaourts nature au lait entier
(je n'ai pas voulu prendre trop de risques pour une première fois...)

La recette ? Ultra-simple ! La voici...

• Ingredients : 1 yaourt du commerce (un Danone bleu pour moi. Peut être remplacé par une dose de ferment) + 1 litre de lait entier (UHT premier prix pour moi)
• Matériel : 1 pichet avec bec verseur (ou tout autre récipient mais le pichet permet de remplir très facilement les pots), 1 cuillère en bois (il paraitrait que le métal "tue" les ferments, je ne me suis pas risquée à le vérifier...), 1 yaourtière avec ses 8 pots de 125 ml (Il existe aussi des recettes sans yaourtière : au four, à la cocotte et même "à la couverture", disponibles très facilement sur le net)

On vide le yaourt dans le pichet, on ajoute le lait progressivement en remuant bien, on répartit ce mélange dans les 8 pots (qu'on ne ferme pas), on ferme la yaourtière, on appuie sur le bouton et on laisse fonctionner la bête une dizaine d'heures (en réalité, les yaourtières SEB ne chauffent qu'une heure environ, ensuite, elles ne font que conserver la température mais sans consommer d'électricité).
Pour ma part, j'avais couvert ma yaourtière d'un plaid pour éviter qu'elle ne refroidisse trop vite car il fait très froid dans ma cuisine, surtout la nuit.

Le résultat ? Presque parfait...

Niveau goût : parfait : bon goût de lait, pas du tout acide.
Niveau texture : presque parfait : bien ferme, et très crémeux une fois mélangé (et oui, le lait entier...). Un tout petit défaut cependant : un petit peu grumeleux au fond du pot... Je ne sais pas à quoi c'est dû, si quelqu'un peut m'éclairer, toute suggestion est la bienvenue...

En résumé, pour une première, je suis plus que satisfaite, et maintenant impatiente de me lancer dans de nouveaux essais : sucrés, aromatisés, allégés, au lait de soja, au lait de chèvre, aux fruits, aux céréales, au chocolat... Bref, vous constaterez bientôt que mon imagination n'a pas (ou si peu...) de limite !!

Prochain essai : au lait demi-écrémé (et oui, j'ai quelques "restes de grossesse" à éliminer...). Billet à suivre...

Bonjour à toutes et tous. Avant de rentrer dans le vif du sujet, et donc de poster le compte-rendu d'une première expérience culinaire, je vais (très) rapidement me présenter et surtout, présenter ma cuisine, que vous découvrirez tout au long de ce blog.
Commençons par moi : je suis une toute jeune maman de 26 ans qui aime cuisiner mais surtout, qui ADORE manger ! Ma cuisine est plutôt simple (c'est-à-dire qu'elle ne demande pas de savoir-faire et d'ustensiles particuliers, et les ingrédients de base sont le plus souvent très accessibles et bon marché) mais, en revanche, elle est souvent originale. Je suis assez inventive et aime beaucoup "broder" autour de recettes classiques ou glanées sur la toile... En effet, je ne suis jamais une recette "à la lettre", je déteste tout peser, tout mesurer, tout chronométrer et préfère 100 fois me fier à mes papilles, mon nez et mes yeux... J'aime les cuisines de tous les continents et, par conséquent, j'use (et parfois abuse) des épices en tout genre, en osant parfois des mélanges inattendus, susceptibles de faire hurler certains puristes...
Mais bon, généralement, ma famille et mes amis apprécient alors pourquoi pas vous ?